Gîte de Fanch

François
Gîte de Fanch

Gastronomie

La Table de Morvan à GOURIN(56)
41 Rue Jacques Rodallec
Kebab De La Gare Gourin
2 Rue de la Gare

Point d'intérêt

situé à 2 km du gîte, L'allée couverte C'est un assemblage de pierres plates sans dalles de couverture, les piliers reposant les uns sur les autres. La légende veut que ce fût la maison d'un géant qui enleva quelques dalles du monument pour les jeter au malotru qui avait enlevé sa fille ! Elle est datée du Neolithique. Le panorama à ne pas manquer Par temps clair depuis le sommet près du radar, on peut voir jusqu'aux Monts d'Arrée au Nord mais aussi le Roc'h Toullaeron à Gourin à l'Est, Spézet et même Carhaix et encore plus loin. Pensez donc à apporter vos jumelles.
Allée couverte de Castel-Ruffel
situé à 2 km du gîte, L'allée couverte C'est un assemblage de pierres plates sans dalles de couverture, les piliers reposant les uns sur les autres. La légende veut que ce fût la maison d'un géant qui enleva quelques dalles du monument pour les jeter au malotru qui avait enlevé sa fille ! Elle est datée du Neolithique. Le panorama à ne pas manquer Par temps clair depuis le sommet près du radar, on peut voir jusqu'aux Monts d'Arrée au Nord mais aussi le Roc'h Toullaeron à Gourin à l'Est, Spézet et même Carhaix et encore plus loin. Pensez donc à apporter vos jumelles.
Menhir de Guernangoue
Coat Quilvern
Domaine de Tronjoly
Amoureux des arbres, venez découvrir cet if centenaire, classé parmi les arbres remarquables.
Église Notre-Dame-de-Lorette de Roudouallec
Place de l'Église
Amoureux des arbres, venez découvrir cet if centenaire, classé parmi les arbres remarquables.

Lieux emblématiques

A 10 minutes en voiture, n'hésitez pas à vous y rendre pour visiter les écuries et le château et surtout vous promener dans son immense parc. Des animations s'y déroulent régulièrement. A ne pas manquer "Noël à Trevarez" qui illuminent nos yeux et nos cœurs.
A découvrir une répliquede la Statue de la Liberté en mémoire de l'immigration des bretons vers les États-Unis. Nicolas Mathurin Legrand a émigré en 1881 Afin de financer son voyage en 1881, Nicolas Le Grand emprunte 360 francs auprès de Corentin Le Bas, en hypothéquant sa maison qu’il vient de construire (actuellement située au n° 12 de la rue Nicolas-Le Grand, à Roudoualle). Sa migration entraînera un mouvement de masse de 115 000 Bretons vers l’Amérique du Nord, jusqu’aux années 1960. Sa maison, qui se trouve juste à côté de la place Louis-Guiffès, peut être considérée comme le point zéro de l’émigration bretonne vers le Nouveau monde. Fils de Paul, tailleur de pierres, et de Marie-Joseph Le Goff, couturière, Nicolas Mathurin Legrand a vu le jour à Roudouallec, le 3 juillet 1852. Il se marie en 1877 avec Marie-Françoise Bouédec. Ils ont eu huit enfants. À 20 ans, il est appelé pour son service militaire, qui durera cinq années. Un camarade de promotion lui vante les avantages de la vie aux États-Unis. En 1881, il part au Havre avec deux amis (Loeiz Bourhis, dont il n’aura plus de nouvelles, et Job Dauphars, un paysan de Gourin), pour embarquer sur un paquebot en direction de l’Amérique du Nord. Tous trois arrivent au Canada où ils exercent la profession de bûcherons. Puis ils descendent vers les États Unis pour travailler dans des usines ou dans des fermes. Vu comme un exemple de réussite Nicolas n’oubliait pas sa famille et lui envoyait de l’argent, ce qui a permis à sa femme de s’installer comme marchande, cabaretière et commerçante. Ces envois d’argent contribuèrent à la création du mythe américain. Après avoir économisé une partie du fruit de leur labeur, les trois compères décident, en 1884, de revenir au pays. Nicolas Le Grand est vu comme un exemple de réussite, un exemple à suivre. À Roudouallec, Gourin, Guiscriff, Leuhan, on ne jure que par l’Amérique, on ne rêve que de traverser l’Atlantique pour y faire fortune.
Place Stenfort
Place Stenfort
A découvrir une répliquede la Statue de la Liberté en mémoire de l'immigration des bretons vers les États-Unis. Nicolas Mathurin Legrand a émigré en 1881 Afin de financer son voyage en 1881, Nicolas Le Grand emprunte 360 francs auprès de Corentin Le Bas, en hypothéquant sa maison qu’il vient de construire (actuellement située au n° 12 de la rue Nicolas-Le Grand, à Roudoualle). Sa migration entraînera un mouvement de masse de 115 000 Bretons vers l’Amérique du Nord, jusqu’aux années 1960. Sa maison, qui se trouve juste à côté de la place Louis-Guiffès, peut être considérée comme le point zéro de l’émigration bretonne vers le Nouveau monde. Fils de Paul, tailleur de pierres, et de Marie-Joseph Le Goff, couturière, Nicolas Mathurin Legrand a vu le jour à Roudouallec, le 3 juillet 1852. Il se marie en 1877 avec Marie-Françoise Bouédec. Ils ont eu huit enfants. À 20 ans, il est appelé pour son service militaire, qui durera cinq années. Un camarade de promotion lui vante les avantages de la vie aux États-Unis. En 1881, il part au Havre avec deux amis (Loeiz Bourhis, dont il n’aura plus de nouvelles, et Job Dauphars, un paysan de Gourin), pour embarquer sur un paquebot en direction de l’Amérique du Nord. Tous trois arrivent au Canada où ils exercent la profession de bûcherons. Puis ils descendent vers les États Unis pour travailler dans des usines ou dans des fermes. Vu comme un exemple de réussite Nicolas n’oubliait pas sa famille et lui envoyait de l’argent, ce qui a permis à sa femme de s’installer comme marchande, cabaretière et commerçante. Ces envois d’argent contribuèrent à la création du mythe américain. Après avoir économisé une partie du fruit de leur labeur, les trois compères décident, en 1884, de revenir au pays. Nicolas Le Grand est vu comme un exemple de réussite, un exemple à suivre. À Roudouallec, Gourin, Guiscriff, Leuhan, on ne jure que par l’Amérique, on ne rêve que de traverser l’Atlantique pour y faire fortune.

Loisirs

A 10 minutes en voiture.
Guiscriff Railway Station
117 Rue de la Gare
A 10 minutes en voiture.
Piscine de Gourin
1235A Rue de Cornouaille